J'étais convaincu que quiconque conna
ît un peu nos parcs nationaux et nos sites historiques aurait refusé de mettre en oeuvre ce programme risqué, en vertu duquel la moitié des employ
és actuels de Parcs Canada doivent quitter leur emploi ou attendre d'être congédiés et peuvent ensuite, s'ils le désirent, former une société et participer à des appels d'offres que le gouvernement l
ancera ensuite pour faire exécuter le travail qu'ils
...[+++]accomplissaient auparavant.