The JRCC controller, depending on how much information is available at the time, will try to fill that void before necessarily engaging the asset of last resort, which is the Canadian Armed Forces, being a fixed-wing plane most of the time.
Le contrôleur du CCCOS, selon l'information dont il dispose, va tenter de faire le relais avant de mobiliser les ressources de dernier recours, soit celles des Forces armées canadiennes, qui dépêchent la plupart du temps un avion à voilure fixe.