4. Welcomes the Japanese Government's initiative to establish, in 1995, the now-dissolved Asian Women's Fund, a largely government-funded private foundation, which distributed some "atonement money" to several hundred "comfort women", but considers that this humanitarian initiative cannot satisfy the victims" claims of legal recognition and reparation under public international law, as stated by the UN Special Rapporteur Gay McDougall in her above-mentioned report of 1998;
4. juge positive l'initiative du gouvernement japonais visant à créer en 1995 le Fonds pour les femmes d'Asie, fondation privée largement financée par des fonds publics, désormais dissoute, qui a dédommagé plusieurs centaines de "femmes de réconfort", mais considère que cette initiative humanitaire ne saurait satisfaire les victimes qui réclament la reconnaissance juridique et demandent réparation en vertu du droit public international, ainsi que l'a affirmé Gay McDougall, rapporteur spécial des Nations unies, dans son rapport précité de 1998;