Of course, the case of Sandra Lovelace Nicholas, who I understand is a member of this committee, is a perfect instance of how, when one has exhausted domestic remedies — in this case the Supreme Court of Canada — one can go to the Human Rights Committee.
Le cas de Sandra Lovelace Nicholas, qui est membre de votre comité, je crois, en est bien sûr un parfait exemple. Lorsqu'une personne a utilisé tous ses recours dans son pays — en l'espèce, jusqu'à la Cour suprême du Canada — elle peut s'adresser au Conseil des droits de l'homme.