The so-called 'liberalization' favoured by Blair's right wing caucus has hit the rock of French immoveability in relation to energy production in the domestic sector, so it remains the case that Electricité de France can take over companies outside France while protected from converse interventions.
La soi-disant libéralisation prônée par l'aile droite de Tony Blair s'est écrasée sur les rochers de l'intransigeance française en matière de production d'électricité à usage domestique : bref, Électricité de France peut continuer d'acquérir des entreprises hors de France tout en demeurant à l'abri des opérations inverses.