As it stands now, the civil society, i.e. activities by non-governmental organisations in terms of human rights projects, is proportionately having to foot the lion’s share of the bill, and this seems to me a recipe for disaster if we want to achieve stability in the long run.
À présent, la société civile, donc les organisations non gouvernementales, se voient attribuer des projets en faveur des droits de l'homme, proportionnellement à la plus grande partie de la facture présentée, ce qui me semble une manière bien perverse d'arriver à une stabilité à long terme.