The Commission itself rightly argues that the scope of the "Seveso II" Directive is to control the hazards linked to the presence of dangerous substances, without regard to the particular industrial activity is involved, consequently the inclusion of mining operations should not be confined to the chemical and thermal processing of the relevant substances. The danger is inherent in the substance itself, irrespective of the type of processing or preparation, and the wording proposed by the Commission wo
uld in fact exclude plants carrying out mechanical or physical processing, such as ...[+++] Aznalcóllar, from the scope of the directive.
Suivant le raisonnement même de la Commission, qui, fort justement, rappelle l'objet de la directive (c'est-à-dire la maîtrise des dangers liés à la présence de substances dangereuses, indépendamment de la nature de l'activité industrielle), il ne faudrait pas limiter l'inclusion des activités minières aux préparations chimiques ou thermiques des substances. La dangerosité des substances leur est inhérente, quel que soit le type de fabrication ou de préparation, et la formulation proposée par la Commission exclurait de fait les sites où la préparation est mécanique ou physique, comme celui d'Alznalcollár.