While Marie-Andrée Bertrand commented that cannabis might have an effect on adolescent maturation, she said that very few facts supported the hypothesis put forward by the majority.[104] She also concluded that there was no relationship between cannabis use and criminality, aggression or the infamous amotivational syndrome.[105] Moreover, she rejected claims that cannabis use leads to poly-drug use in most users:
Même si Marie-Andrée Bertrand a reconnu que le cannabis pouvait nuire au développement d’un adolescent, elle a affirmé que bien peu de faits étayaient l’hypothèse avancée par la majorité.[104] Elle a également conclu que cette drogue ne provoquait pas la criminalité, l’agressivité ou le fameux syndrome amotivationnel.[105] Enfin, elle a rejeté l’argument voulant que le cannabis favorise la polytoxicomanie chez la plupart des usagers :