Increasing numbers of intolerable delays are not, as has already been stated, solely due to overcrowding in the sky, but to also the airlines’ attempt, for reasons of cost-effectiveness, to rotate their planes with excessively short, unreasonable and ultimately impossible turnarounds.
Les retards de plus en plus nombreux et insupportables ne sont pas dus, comme on l'a signalé déjà, seulement à l'encombrement du ciel aérien, mais aussi à la prétention des compagnies, pour des impératifs de rentabilité, de faire effectuer à leurs avions des rotations, avec des délais d'une brièveté excessive, déraisonnable, et, en définitive, impraticable.