The first, which is increasingly common, is to want to keep our borders wide open so as to have a source of cheap labour, liable to be ruthlessly exploited; and the other is not to want any immigration at all, which is neither preferable nor desirable.
L'une, de plus en plus courante, consiste à vouloir ouvrir les frontières toutes grandes pour disposer d'une main d'œuvre bon marché, corvéable à merci, et l'autre à vouloir une immigration zéro, qui n'est ni préférable, ni souhaitable.