He argued, for instance, that the Commission was inefficient, that free debate was stifled and that real power lay not with the Members of the Commission but with senior officials, who sabotaged their work. He felt that the Commission had a strong, hierarchical culture behind which anarchical network-based power games of a personal nature took place.
Selon lui, la Commission est, entre autres, inefficace, la liberté des échanges de vues y est contrariée, les pouvoirs véritables échappant aux commissaires pour être exercés par de hauts fonctionnaires qui sabotent le travail, et la Commission est caractérisée par "une culture hiérarchique solide qui dissimule un jeu anarchique fondé sur des réseaux personnalisés".