It is a simple matter of asking the government to give its employees the right to negotiate their working conditions, like millions of other workers in Canada, thereby reducing bargaining restraints by allowing new rights that could be called: the right to strike, such as they have in Quebec's public service, the right to arbitration and the right to grieve, which do not exist right now, the employer being both judge and jury, as we keep saying.
Il s'agit là de demander simplement au gouvernement qu'il reconnaisse à ses employés le droit de négocier leurs conditions de travail, comme des millions d'autres travailleurs au Canada, et qu'on diminue, par le fait même, les limites à la négociation en obtenant de nouveaux droits qui pourraient s'appeler le droit de grève, comme on le connaît dans la fonction publique du Québec par exemple, le droit d'arbitrage et le droit de grief qui n'existent pas actuellement, l'employeur étant juge et partie, nous ne le dirons jamais trop.