If the underpinnings of our Canadian, and indeed other parliamentary free and democratic societies are to permit freedom of association to pursue collective goals, which is the foundation of the trade union movement, and economic liberty, which is the foundation of corporate enterprise, is it not passing strange that these actors are totally prohibited from participating in the political process?
Si les piliers de sociétés parlementaires libres et démocratiques, comme la société canadienne, consistent à permettre la liberté d'association dans le but d'atteindre des objectifs communs — ce qui est à la base même du mouvement syndicaliste — et la liberté économique — qui constitue le fondement des entreprises — n'est-il pas étrange qu'on interdise à ces mêmes acteurs de prendre part au processus politique?