By proposing to amend the definition of " taxable Canadian property" to exclude shares of Canadian corporations, and certain other interests, that do not derive more than 50 per cent of their value from real property situated in Canada, Canadian resource property or timber resource property, the government has significantly reduced administrative and, in some cases, economic barriers to foreign investment in Canadian-based firms.
Le gouvernement a proposé de modifier la définition de « bien canadien imposable », de manière à exclure les actions des sociétés canadiennes, et certains d'autres intérêts, qui ne tirent pas plus de la moitié de leur valeur de biens réels situés au Canada, de l'avoir minier canadien ou de l'avoir forestier. Ainsi, il a considérablement réduit les obstacles administratifs et, dans certains cas, les obstacles économiques à l'investissement étranger dans les entreprises canadiennes.