[3] For instance, the 'spam box' initiatives organised in 2002 by respectively the French 'Commission Nationale Informatique et Libertés (CNIL)' and the Belgian 'Commission de la Protection de la Vie Privée (CPVP)' seemed to confirm that the United States and, to lesser extent Canada, were the primary source of spam messages.
[3] Par exemple, les initiatives «boîte à spam» organisées en 2002 respectivement par la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL) en France et par la Commission de la protection de la vie privée (CPVP) en Belgique semblent confirmer que les États-Unis et, dans une moindre mesure, le Canada, sont la principale source de «spam».