It would mean an end to what economists call the ``tragedy of the commons,'' a scenario where actors — in this case, the National Energy Board and the pipeline companies, who have no real ``skin in the game,'' so to speak — have no real incentive to look after the resources they use.
Cela voudrait dire la fin de ce que les économistes appellent la « tragédie des biens communs », situation dans laquelle les acteurs, c'est-à-dire l'Office national de l'énergie et les sociétés pipelinières, dans ce cas-ci, n'ont pas vraiment d'intérêts propres en jeu, pour ainsi dire et n'ont pas de vraies raisons de se soucier des ressources qu'ils utilisent.