A. whereas the resumption of the war in December 1998 and supposed national security requirements are the main pretexts being used by the Luanda authorities to justify the systematic violation of human rights, the failure to fix a date for legislative elections and the lack of reform of a repressive, corrupt and ineffective legal system,
A. considérant que la reprise de la guerre en décembre 1998, ainsi que de prétendues exigences en matière de "sécurité nationale" constituent pour les autorités de Luanda les principaux prétextes servant à justifier la violation systématique des droits de l'homme, la non-fixation d'une date pour les élections législatives et l'absence de réforme d'un système judiciaire répressif, corrompu et inefficace,