The possibility of a single ethics officer to govern the ethical conduct of members of both Houses of Parliament, as well as the executive branch of government, had been considered during the evolution of the current ethics regime, as was the desirability of requiring that such an officer have legal training or experience.
La possibilité de nommer un seul conseiller en éthique qui serait chargé de superviser la conduite des députés et des sénateurs, ainsi que celle des membres de l’exécutif avait déjà été envisagée, tout comme l’opportunité d’exiger que celui-ci possède une formation ou de l’expérience dans le domaine juridique.