There was also a failure to secure the Jordanian and Syrian borders against jihadi extremists flocking in to have a bash at the allies, not to mention that Saddam opened his jails before his fall, which added organised crime to this lethal cocktail, and always with the fingers of Iran meddling on the side of the Shias in what has now become virtually a civil war.
En outre, ils n’ont pas rendu les frontières jordaniennes et syriennes imperméables aux extrémistes djihadistes arrivant en masse pour s’en prendre aux alliés, sans parler du fait que Saddam a ouvert les prisons avant sa chute, de sorte que la criminalité organisée est venue s’ajouter à ce cocktail mortel, sans oublier l’ingérence permanente de l’Iran, qui soutient les chiites dans ce qui est à présent devenu pratiquement une guerre civile.