And given that 9 million to 10 million Canadians own bank shares directly or indirectly, couldn't it be argued that what we're doing here today is contrary to the public interest, that this continuation of endless debate that isn't going anywhere is not in the public interest, and that what is really lacking is political leadership a government, a finance minister, and a Prime Minister who simply say yes or no?
Comme de 9 à 10 millions de Canadiens détiennent des actions dans une banque directement ou indirectement, ne pourrait-on pas dire que ce que nous faisons maintenant est contraire à l'intérêt du public, que cette façon de poursuivre un débat sans fin n'est pas dans l'intérêt du public et que ce qui manque vraiment c'est le leadership politique, c'est-à-dire un gouvernement, un ministre des Finances et un Premier ministre qui disent simplement oui ou non?