I prefer to speak of violence in the family rather than violence against women, as, regrettably, we women can also be violent, and studies show that women are sometimes even more violent than men, and that when they start to become violent there is no limit to what they might do.
Je préfère parler de violence familiale plutôt que de violence envers les femmes, car, malheureusement, nous, les femmes, pouvons également être violentes. D’ailleurs, des études montrent que les femmes sont parfois plus violentes encore que les hommes et que lorsqu’elles commencent à devenir violentes, ce qu’elles peuvent faire n’a pas de limites.