If rates of bilingualism among anglophones remain relatively low, even if they are growing over time, I think we can start by saying with confidence that it is not because Canadians are opposed to bilingualism as an idea or a principle or a vision of the country.
Si les taux de bilinguisme parmi les anglophones demeurent relativement faibles, même s'ils augmentent avec le temps, je crois que nous pouvons commencer par dire avec confiance que ce n'est pas parce que les Canadiens sont opposés au bilinguisme comme idée, principe, ou vision du pays.