Should we be surprised (or indignant, as some are), in such conditions, at the temptation towards violence which permeates our young people and, occasionally, blows the cover off our social boiling pot?
Faut-il s’étonner dans ces conditions (ou s’indigner comme le font certains) de la tentation de la violence qui taraude notre jeunesse et fait, par épisodes, tressauter le couvercle de notre chaudron social ?