That is why, Mr President, I urge you to write to President Ben Ali and to call, in particular, for the release of Taoufik Ben Brik, a committed journalist whose only crime has been to criticise the so-called democracy in Tunisia.
C’est pour cela, Monsieur le Président, que je vous demande instamment d’écrire au président Ben Ali et de demander, notamment, la libération de Taoufik Ben Brik, journaliste engagé qui n’a commis comme seul crime que celui de critiquer la soi-disant démocratie tunisienne.