An ordinary coffee planter in Tanzania or Kenya earns at best a few euros per week. That means that he or she – it is often women, by the way, who work on the coffee plantations – would have to labour for a week or more in order to afford a single cup of coffee in a bar here in Strasbourg.
Dans le meilleur des cas, un producteur de café moyen de Tanzanie ou du Kenya gagne quelques euros par semaine, de sorte qu'il ou elle - ce sont d'ailleurs surtout des femmes qui travaillent dans les plantations de café - doit trimer une semaine ou plus pour pouvoir s'offrir une tasse de café dans les bars de Strasbourg.