I conclude on this point by saying that the co-operative movement serves as a sort of insurance for people against the neo-liberal current in which people are increasingly divided, singled out and where individualism counts most, where governments are subjugated and where the social safety net is increasingly in jeopardy.
Je conclus en disant que l'existence du mouvement coopératif, c'est peut-être une police d'assurance pour les populations face au courant néo-libéral que nous vivons, où les gens sont de plus en plus divisés, esseulés, où l'individualisme prime partout, où les gouvernements sont subjugués, où le filet social est de plus en plus compromis.