In it, the author describes
, from the point of view of an officer in the security services, the things that go on in Russia today, and we will read it: we will read about how some small-time crook, some small-time drug pusher gets caught, gets sentenced to ‘life’, gets taken off to some prison on the other side of the Urals, and then they will say, ‘Look, we've caught one!’ As for those, though, at whose behest the crime was committed, those who gave the
money – as we have seen with the forty other journalists a
nd the new ...[+++]spapers – well, nobody will ask, because nobody will be interested, for – as we saw yesterday evening on German television when Chancellor Merkel met him – we need Vladimir Putin.L’auteur y décrit, du point de vue d’un officier des services de sécurité, les choses qui se passent en Russie aujourd’hui, et nous les lirons: nous lirons comment un petit malfrat, un petit trafiquant de drogue quelconq
ue se fera prendre, sera condamné à «vie», emmené dans une prison de l’autre côté de l’Oural, et qu’alors ils diront: «Regardez, nous en avons attrapé un!». Cependant, ceux sur l’ordre desquels le crime a été commis, ceux qui ont fourni l’argent - co
mme nous l’avons vu avec les quarante autres journalistes et les journ
...[+++]aux - ne feront l’objet d’aucune question, parce que personne ne s’y intéressera, car - comme nous l’avons vu hier soir à la télévision allemande lors de sa rencontre avec la chancelière Merkel - nous avons besoin de Vladimir Poutine.