Au cours d’études in vitro réalisées sur des tissus cardiaques isolés, les marges d’exposition pour
l’allongement de la durée du potentiel d’action étaient 17 fois supérieures aux concentrations plasmatiques libres observées chez l’être humain en cas d’administration de la dose quotidienne maximale (20 mg 4 fois par jour). Cependant, dans les modèles pro-arythmiques in vitro (cœur isolé perfusé selon la méthode de Langendorff) et les modèles in vivo (chiens, cobayes et lapins sensibilisés aux torsades de pointe), les marges de sécurité étaient plus de 17 fois supérieures aux concentrations plasmatiques libres observées chez l’être humain
...[+++] en cas d’administration de la dose quotidienne maximale (20 mg 4 fois par jour).