Par conséquent, je dis à nouveau que ce n’est que cinq ans après l’introdu
ction de l’euro que nous pourrons véritablement
accepter le principe d’une pleine libéralisation, car avant cela, nous serons dans l’incapacité de pourvoir en capital nos ent
reprises, dans lesquelles il existe un énorme potentiel d’investissement qui ne doit
pas être gaspillé, afin qu’elles puissent r ...[+++]ésister à la concurrence.