Il justifie cette inaction par le manque de moyens, et par le fait que le dépôt d'une plainte formelle est requis pour entamer une procédure. D'après Michaël Freilich, du Joods-Actueel, le fait qu'il n'y ait guère eu de plaintes jusqu'ici est très simple à expliquer: « Jusqu'à présent, seules quelques plaintes ont été introduites, pour la simple raison que nous ne regardons pas les chaînes arabes » (8) (traduction).
Volgens Michaël Freilich van Joods-Actueel ligt de reden dat er tot nu toe weinig of geen klachten zijn geweest, voor de hand : « Tot nu toe zijn er nog maar nauwelijks klachten ingediend, om de simpele reden dat wij niet naar Arabische zenders kijken » (8) .