L’argument qui veut que tous les États membres, les nouveaux comme les anciens, devraient être satisfaits, puisque d’une part les nouveaux États membres reçoivent plus d’argent et que d’autre part les anciens États membres ont augmenté leur part du marché de l’agroalimentaire en contrepartie, ne tient tout simplement pas la route.
Dat zowel de oude als de nieuwe lidstaten tevreden mogen zijn, aangezien de nieuwe lidstaten meer middelen krijgen en de oude in ruil daarvoor een groter deel van hun voedingsmiddelenmarkt hebben gekregen, snijdt simpelweg geen hout.