Cette interdiction a été considérée pendant des décennies comme une interdiction absolue; suite aux nombreuses restr
ictions dont elle a fait l'objet, elle est aujourd'hui, réduite à une interdiction impérative, mais elle continue, à juste titre, d'être remise en question (voir, à cet égard, par exemple, la thèse de doctorat de J. Bael, et les contributions du Prof. M. Puelinckx-Coene dans le Liber amicorum du Prof. Walter Pintens, la contribution de J. Verstraete au Répertoire Notarial,
...[+++]etc. ).