Après le soi-disant « référendum » du 24 novembre dernier au Bélarus, le Conseil
des ministres de l'Union européenne avait adopté des conclusions affirmant que, outre la suspension des négociations en vue d'un accord de partenariat et de coopération (ACP) et de l'accord intérimaire, avec Minsk, l'Union européenne n'allait plus soutenir l'adhésion du Bélarus au Conseil de l'Europe, qu'elle ne reconnaissait pas la nouvelle constitution et le parlement mis en place par le président Loukachenko et qu'elle gelait toute assistance Tacis, à l'exception de l'aide desinée à des projets de démocratisation, de soutien aux médias libres et de protec
...[+++]tion des droits de l'homme.