En 1992, START I a été élargi aux États successeurs de l'Union soviétique par le protocole de Lisbonne du fait de l'éclatement de l'Union soviétique puisque, parmi les États successeurs, quatre — la Russie, le Kazakhstan, l'Ukraine et le Bélarus — étaient des États de stationnement des armes nucléaires soviétiques.
In 1992, na het uiteenvallen van de Sovjetunie, verruimde het protocol van Lissabon START I tot de opvolgers van de Sovjet-Unie, waarvan er vier — Rusland, Kazachstan, Oekraïne en Wit-Rusland — Sovjetkernwapens op hun grondgebied herbergden.