La CEDH ne fournit aucune indication quant à la manière dont cette information devrait être fournie. Bien que la Cour ait décidé, dans l'affaire Kamasinski[19], qu'il convient en principe de fournir une traduction écrite de l'acte d'accusation au suspect s'il ne comprend pas la langue, la Cour a reconnu que des explications orales suffisent pour assurer le respect de l'article 6, paragraphe 3, point a).
Hoewel het Hof in de zaak- Kamasinski[19] oordeelde dat aan een verdachte die de taal niet verstaat, in beginsel een schriftelijke vertaling van de tenlastelegging dient te worden vertrekt, aanvaardde het Hof dat mondelinge uitleg volstond om te voldoen aan artikel 6, lid 3, onder a).