Tout porte donc à croire que si cet échange de données ADN était également pratiqué automatiquement avec d'autres États, les résultats obtenus permettraient d'élucider encore davantage d'affaires et d'identifier encore davantage de criminels, parfois particulièrement mobiles entre la Belgique et les pays limitrophes.
Dit alles laat dus veronderstellen dat, mochten die DNA-gegevens ook automatisch met andere landen worden uitgewisseld, men middels de verkregen resultaten nog meer zaken zou kunnen ophelderen en nog meer criminelen zou kunnen identificeren.