En 2007, ces camps détenaient quelques 60 000 migrants (6) , sans fondement légal ni contrôle judiciaire, ni assistance juridique, ni possibilité de demander asile, au mépris des textes tant libyens qu'internationaux, comme le révèlent Fortress Europe ou Amnesty International: « Lorsque leurs droits sont bafoués, les ressortissants étrangers n'ont aucun moyen de se placer sous la protection de la justice ni d'exercer le moindre recours ».
In 2007 werden er in die kampen ongeveer 60 000 migranten vastgehouden (6) , zonder wettelijke grondslag, gerechtelijke controle, juridische bijstand of mogelijkheid om asiel aan te vragen, tegen de Libische en internationale teksten in, zoals Fortress Europe of Amnesty International bekendmaken : « Foreign nationals whose rights have been violated have no possibility of seeking protection or remedy through the justice system ».