S
ur la possibilité pour les pays en voie de développement d’accéder aux techniques de la libéralisation commerciale, à l’OMC et à ses panels, etc, il est vrai, comme on l’a dit, que cela pose un problème, que cet objectif n’est, pour l’instant,
pas à la portée de beaucoup d’entre eux et que l’utilisation de ces mécanismes complexes est réservée à ceux qui en ont les moyens, d’où notre proposition d’une assistance technique (d’ailleurs mentionnée dans le document de la Commission), pour que ces pays puissent eu
x-mêmes posséder et ...[+++]utiliser la technologie juridique nécessaire.