C'est pourquoi il souligne que la police de Bruxelles n'a jamais pu se prévaloir d'un bilinguisme à 100 %, ni au sein des brigades de gendarmerie de l'époque, où l'obligation de bilinguisme valait uniquement pour le service, et non pour chaque collaborateur individuel, ni à la police communale, où les agents étaient recrutés quelles que soient leurs connaissances linguistiques légales.
Daarom benadrukt hij dat er bij de Brusselse politie nooit een 100 % tweetaligheid heeft bestaan. Niet bij de toenmalige rijkswachtbrigades, waar enkel de dienst tweetalig moest zijn en niet elke individuele medewerker.