Considérant peut-être que la confusion créée n'était pas suffisante, le chef de cabinet du premier ministre y est allé de ses propres déclarations indiquant qu'une nationalisation était envisagée, qu'elle ne faisait pas partie des priorités du gouvernement et que, si elle intervenait, elle ne se ferait pas sous la forme d'une offre publique d'achat, mais plutôt par le biais d'une loi d'expropriation.
De kabinetschef van de eerste minister verklaarde dan weer dat een nationalisering wordt overwogen, dat die voor de regering niet prioritair is en dat ze, als het zo ver komt, niet via een overnamebod zou geschieden, maar eerder via een onteigeningswet.