Tout d'abord, elle a affirmé que les présentations étaient lim
itées en nombre, qu'elles étaient clairement identifiables grâce à leur code TARIC et que cert
aines d'entre elles pouvaient être regroupées si nécessaire. Elle a avancé ensuite que l'existence de grandes différences de prix entre les différentes présentations n'entraverait pas l'exécution des engagements, puisqu'il était possible d'établir des prix minimaux à l'importation différents pour les différentes présentations. Enfin, elle a fait valoir que, par le passé, des engage
...[+++]ments similaires avaient été acceptés à l'égard d'autres produits à base de poisson (saumon) (13).