Sans doute, cette femme p
ourra~t-elle encore éventuellement obtenir, après un divorce aussi rapide, une pension aliment
aire après divorce, mais, dans l'état actuel du projet, il ne s'agit que d'une stricte pension alimentaire, limitée à un tiers des revenus du débiteur et destinée, à la différence du devoir de sec
ours entre époux, à couvrir « l'état de besoin » (même si le texte dit « au moins l'état de besoin », en manière telle qu'on n
e sait pas ...[+++] vraiment quel sera le critère.