Le premier ministre, M. Martens, souligna de son côté qu'« il s'agissait d'une évolution irréversible » et que « quiconque réfléchit à l'opportunité de la création d'une cour constitutionnelle, doit être conscient de cette réalité » (202).
De eerste minister, de heer Martens, onderstreepte van zijn kant dat het ging om een onomkeerbare evolutie en dat « quiconque réfléchit à l'opportunité de la création d'une cour constitutionnelle, doit être conscient de cette réalité » (202).