Huit ans plus tard, compte tenu du fait que les progrès réal
isés depuis l'arrêt sont insuffisants, la Commission renvoie l'affaire devant la Cour de justice. Conformément aux pratiques établies, elle propose d'infliger à la Grèce une astreinte journalière de 71 193 €, à compter de la date du second
arrêt et jusqu'à ce qu'elle se conforme à l'
arrêt, et une amende forfaitaire correspondant à 7 786 € par jour pour la période qui s'étend du premier
arrêt au jour où cet État membre se sera conformé à l'
arrêt, ou au jour du second
arrêt ...[+++] de la Cour.