32. souligne que, des politiques actives concernant le marché du travail, seule la formation a un impact significatif sur les résultats agrégés du marché du travail; souligne également la nécessité pour le FSE de continuer à accorder la priorité essentielle à la formation et à adapter celle-ci aux besoins spécifiques de chaque État membre et exprime la crainte que l'affectation des Fonds structurels à la stratégie de Lisbonne ait pour effet de déplacer les fonds consacrés à des actions de formation vers d'autres politiques actives en faveur du marché du travail; affirme que le pourcentage de travailleurs en formation est toujours trop faible et que les entreprises privées ne contribuent pas suffisamment à promouvoir la formation; demande
...[+++] aux employeurs de faire de la formation leur première priorité et de créer les conditions pour une formation sur le lieu de travail; considère que les heures de formation devraient être assimilées au temps de travail;