Would it have not been possible, as suggested by the Canadian Police Association, where pedophiles are concerned, to combine jail sentences with more severe controls and what we called parole for life, which requires offenders to report to their parole officers, live in designated areas and refrain from any contact with children?
Toutefois, n'aurait-il pas été compatible, comme l'a dit l'Association canadienne des policiers, dans le cas des pédophiles, d'essayer d'assortir cet emprisonnement à des contrôles accrus et à ce qu'on a appelé une libération conditionnelle à vie, c'est-à-dire que les gens doivent se rapporter, qu'ils doivent avoir des zones dé-signées et qu'ils ne doivent pas être en contact avec les enfants?