However, when it came to organizations like the Native Women's Association of Canada, the Assembly of First Nations and various band chiefs, various people with legal expertise, grassroots leaders who had real concerns with Bill S-2, who opposed Bill S-2, none of them got as much time to speak to it as the Congress of Aboriginal Peoples.
Cependant, des organisations comme l'Association des femmes autochtones du Canada, l'Assemblée des Premières Nations, certains chefs de bande, des gens ayant des compétences en droit et des dirigeants locaux, qui ont manifesté leurs inquiétudes au sujet du projet de loi S-2 ou qui étaient carrément contre celui-ci, n'ont pas eu droit au même temps de parole que le Congrès des peuples autochtones.