This puts Canadian firms at a competitive disadvantage since share values are determined, at least in part, by market perceptions of their earnings, which, in this case, will be reduced as a result of the acquisition of goodwill.
La société canadienne se trouve ainsi désavantagée puisque la valeur des actions est déterminée, du moins en partie, par les perceptions de leurs bénéfices nets par le marché, qui, en l'occurrence, seront réduits par suite de l'acquisition de l'achalandage.