In turn, each of the essays deplored Canadian journalism's preoccupation with lurid crime, its invasions of privacy, the dominance of American news, the unsavoury influence of advertising, the literary bankruptcy of journalistic prose, and the fact that newspapers had become ``a `rivulet of text' amid a wilderness of pictures'. '
Chaque collaborateur de la publication s'attarde à déplorer que le journalisme canadien se préoccupe de crimes macabres, envahisse la vie privée, soit dominé par l'information américaine, soit soumis à la détestable influence de la publicité, soit synonyme de faillite littéraire dans la prose journalistique et que, dans les journaux, le texte ne soit devenu, par rapport à la photo, qu'une petite prairie perdue au milieu d'une vaste forêt.