Thee five areas we will concentrate on are peace and security, i.e., conflict prevention; governance in all its forms political governance, economic governance, administrative, judicial, etc; knowledge and health, knowle
dge being more than education and including digital divide, distance learning, distance
health, information technology, etc.; health, it goes without saying and you know that better than most of us meaning AIDS, malaria, all those diseases that most Canadians have never heard of, trying to engage the phenomenon wher
...[+++]eby 90% of the world's medical research is done on 10% of the world's maladies, i.e. those that affect us; trade and investment, trade meaning market access, diminishing export subsidies, opening our markets to their products, and if we expect investment to be one of the major saviours of Africa, when they produce things as a result of that investment, we have to be able to take them; agriculture and water ten years ago over 25% of our ODA investment was in the area of agriculture, today it's less than 7%, and on the water side, one African in two drinks dirty water, and we have to change that (1650) The Chair: Thank you.Les cinq critères qui vont retenir notre attention sont la paix et la sécurité, c'est-à-dire la prévention des conflits; la gouvernance sous tous ses aspects—politique, économique, administratif, judiciaire, etc.; le savoir et la santé, le savoir étant une notion qui va plus loin que l'éducation et qui comprend le fossé numérique, l'apprentissage à distance, l
a télémédecine, les technologies de l'information, etc.; il va sans dire que la santé—et vous le savez mieux que quiconque—, c'est-à-dire le sida, le paludisme et toutes ces maladies dont la plupart des Canadiens n'ont jamais même entendu parler, le fait d'affronter le phénomène
...[+++]en vertu duquel 90 p. 100 de la recherche médicale dans le monde portent sur les maladies qui affectent 10 p. 100 des habitants de la planète, c'est-à-dire nous; le commerce et l'investissement, et par commerce j'entends l'accès au marché, la réduction des subventions à l'exportation, l'ouverture de nos marchés aux produits de ces pays, et si nous nous attendons à ce que l'investissement soit l'un des facteurs qui assurera le salut de l'Afrique, il nous faudra acheter ce qu'ils arriveront à produire grâce à ces investissements; l'agriculture et l'eau—il y a 10 ans, plus de 25 p. 100 de notre APD était investi en agriculture, alors qu'aujourd'hui, ce pourcentage est inférieur à 7 p. 100. Quant à l'eau, un Africain sur deux boit une eau qui n'est pas propre, et il nous faut agir (1650) La présidente: Merci.